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Evolution des espèces

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Evolution des espèces

L'évolution des espèces est la conséquence d’actualisations de potentialités génétiques fruits de recherches de nouveautés, dans les cellules

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Latest Activity: Aug 2, 2013

Evolution des espèces



Evolution des espèces

L'essentiel de cette théorie est déposé à l’Académie des Sciences, à Paris, sous pli cacheté n°17611, afin de prendre date

Liminaire

Tout être est le pôle d'organisations de processus à effet biologique, de processus à effet comportemental, voire à effet mortifère.
Ces organisations de processus élaborées dans le cadre d'un système planétaire, voire universel, de repères de valeur, nécessitent :
- des vecteurs et des mémoires du "sens",
- l'interprétation permanente innée (ou innée et consciente) des caractéristiques de ces vecteurs et de ces mémoires.

Tentons de mettre en évidence ce que ces faits impliquent à propos de l’Origine de la vie, l’Evolution des espèces et l’Emergence de l’homme.

1. Origine de la vie

1. 1. La matière mémoire et vecteur du "sens"

Rapportons-nous aux expériences qui furent menées dans les laboratoires de la société Digibio, à Paris.
Très succinctement exprimé, ces expériences qui s'appuient sur le fait que les particules, les atomes, les molécules vibrent (des ondes électromagnétiques sont toujours associées aux particules, aux atomes et aux molécules),
font appel à deux processus originaux :
- le premier destiné à recueillir les signaux à effet biologique dont sont porteuses les molécules médicalement actives, consiste à plonger dans un champ électromagnétique, une éprouvette recelant de l'eau pure et une goutte de ces molécules,
puis à enregistrer sous forme numérique les perturbations affectant ce champ et le courant électrique qui le génère.
- suivant un second processus, de l'eau strictement pure est soumise à un champ électromagnétique modulé à l'aide de l'enregistrement précité (ce nouveau champ est bien évidemment semblable au champ dont les perturbations ont été numérisées).

Constat remarquable, après environ 20 minutes, l'eau, strictement pure, se révèle mémoire et vecteur de certaines organisations de processus à effet biologique émanant des produits actifs expérimentés.

Pour l’histoire, rappelons que ces expériences dont les résultats dérangèrent, dérangent énormément l’intelligentsia actuelle, momentanément abandonnées à la mort de Jacques Benveniste en octobre 2004, se poursuivirent aux Etats Unis, et furent repris par Luc Montagnier (Nobel).
Les équipes de recherche de celui-ci, peuvent désormais "restaurer" des fragments d’ADN, par le biais d’ondes électromagnétiques "extraites" d’autres fragments d’ADN servant de références, montrant ainsi, qu’il y a du "sens" dans la matière et que des ondes électromagnétiques en sont les vecteurs primordiaux puisque ce sont les seules à pouvoir traverser le vide quantique séparant les particules, atomes et molécules.


1. 2. Premières conclusions

Sept faits nous paraissent essentiels :
- les résultats ne relèvent pas du hasard,
- la matière inerte est mémoire de "sens" (d’informations et d'organisations de processus), nous évoluons donc dans un cybermonde,
- des ondes électromagnétiques constituent les vecteurs primordiaux des informations et des organisations de processus biologiques,
- certaines ondes électromagnétiques composites qui sourdent des molécules, recouvrent une plage de fréquences s'étendant de 20 à plus de 40.000 hertz,
- des ondes électromagnétiques de très très faible puissance sont indispensables aux êtres, d'autres sont neutres ou nuisibles.


Nous pensons en particulier au rayonnement mitogénétique qui, constitué de flux ultra faibles de photons, révèle que tous les tissus vivants émettent des informations sous le couvert de rayonnements électromagnétiques de très très faible puissance (le rayonnement mitogénétique fut mis en évidence et mesuré, dans les années 1920, par le biophysicien russe Alexandre Gurwitch).

Plus extraordinaire, selon les travaux de l'équipe de Vlail P. Kaznatcheïev au département sibérien de l'Académie russe des sciences médicales, des effets pathogènes se transmettent également entre cellules, par le biais de rayonnements électromagnétiques ultra faibles.

- les molécules sont médicalement actives, principalement, parce qu’elles permettent d’améliorer la mémorisation et la diffusion d’informations et d'organisations de processus biologiques.
- quant à l'eau, c’est une mémoire relais et un vecteur d'organisations de processus et d'informations, voire, peut-être, une caisse de résonance (un amplificateur).



1. 3. Mémorisation et origine de la vie

Les processus de mémorisation au niveau moléculaire, ne sont donc pas aussi banals qu'ils paraissent à première vue ; insistons davantage.

Considérons par exemple, ce que les recherches actuelles nous enseignent à propos du comportement des molécules d’eau à l’état liquide, lorsque celles-ci sont soumises à un champ électromagnétique.
Nous savons notamment qu’il se forme des conglomérats moléculaires spécifiques et, fait essentiel,
à chaque forme et grandeur de ces conglomérats, est associé un ensemble composite et spécifique d’ondes électromagnétiques, caractérisé par les interférences de ces ondes.

Il en est d’ailleurs ainsi pour tout conglomérat, en particulier pour ceux qui constituent les acides "désoxyribonucléique" et "ribonucléique", ces merveilleux ensembles de molécules carbonées qui détiennent le patrimoine génétique.
C’est donc l’extrême variété des interférences des ondes électromagnétiques associées à ces acides, qui permet l’extrême variété des informations et des organisations de processus biologiques.

Très succinctement, que savons-nous à propos de l'apparition de telles molécules ?
Il y a quelque 3,5 milliards d'années, sous l'impact de l'énergie solaire, en particulier des rayons ultraviolets, l'eau et le gaz carbonique dont la terre était abondamment pourvue, réagirent ensemble pour former des molécules carbonées simples comme l'aldéhyde formique, réactions qui enrichirent progressivement l'atmosphère en oxygène.
Parallèlement, apparurent des composés carbonés stables de plus en plus complexes : les polysaccharides (composés des éléments C,H,O), des acides aminés à chaînes courtes (C,H,O,N), des polypeptides (chaînes longues d'acides aminés), des protéines (chaînes très longues d'acides aminés), des poly nucléotides intégrant le phosphore, ....
Les premiers substrats de toutes ces évolutions furent les océans de l'époque.
Puis, en facilitant la constitution d'"agglomérats singuliers (coacervats), cette symbiose océanique favorisa des combinaisons plus subtiles de protéine et d’acide nucléique, qui donnèrent le jour à des structures spiralées ayant la propriété de permettre de transmettre, par duplication, les informations dont elles étaient les mémoires et les vecteurs.
Naquirent ainsi les proto molécules d'ARN qui devinrent les acides nucléiques ARN et ADN que nous connaissons aujourd'hui.

Même si ce descriptif ne traduit pas exactement les faits survenus, il n’en demeure pas moins que toutes ces(les) étapes clé de l'évolution des espèces ont été caractérisées par des accroissements d'interactions physico-chimiques et par des accroissements de transmissions d’informations et d'organisations de processus, ce qui présuppose plus que l’omniprésence de mémoires du "sens" :
l’interprétation permanente des caractéristiques des ondes électromagnétiques, vecteurs primordiaux du sens, associées aux molécules qui furent nécessaires à l’apparition de la vie,
et des caractéristiques des ondes électromagnétiques qui sont nécessaires aux évolutions du phénomène de la vie
.
L'évolution des systèmes circulatoires et nerveux qui permettent la maîtrise et à la diffusion du sens dans l'ensemble des organes, confirme amplement cette compréhension.

D’ailleurs,
pourquoi quelques éléments chimiques, bien qu’en très faible quantité dans le corps, sont-ils indispensables au maintien de nos équilibres de vie,
et comment se fait-il que le nombre de ces éléments ait augmenté au fur et à mesure de l'accroissement de complexité des individus ?
N'est-ce point parce que les accroissements de capacités de mémorisation biologiques nécessitent des molécules de plus en plus complexes et plus "subtiles" ?

Nous pouvons aussi dire que le moyen de mémorisation du "sens" au niveau moléculaire, est à l’image du langage (et vice versa) :
les lettres moléculaires biologiques sont des fréquences d’ondes électromagnétiques,
les mots et les phrases biologiques sont des ensembles de ces fréquences !


Quelle entité créatrice les reconnaît et les utilise ?


1. 4. Postulats

De nombreux faits donnent ainsi, une crédibilité à nos postulats :

- l’univers n’est pas régi par des lois comme cela est constamment dit, car les lois universelles ne sont pas dotées de facultés qui permettent de reconnaître, de juger, de choisir, …, de décider et d’agir ; ce sont des formalisations de comportements immuables !
- nous évoluons dans un cyber monde où la mémorisation et les transmissions d'informations et d'organisations de processus, jouent un rôle essentiel,
- ce furent des développements fiables de capacités mémoire résultant de complexifications de molécules carbonées qui,
conduisant à des accroissements substantiels d'informations et d'organisations de processus dans de la matière spécifique contenant ces molécules et de l'eau,
permirent l'apparition de la vie,
- des ondes électromagnétiques sont les vecteurs primordiaux des informations et des organisations de processus qui permettent la dynamique de l'univers,
- le phénomène de la vie est une potentialité universelle qui est inexorablement actualisée si les conditions d'état d'une planète sont adéquates.


2. Evolution des espèces

2. 1. Bref historique et compréhension actuelle

La dynamique évolutive de la matière vivante est toujours l’objet de recherches incessantes mais il apparaît aujourd’hui, que celles-ci ne donneront guère plus d’informations quant aux causes primordiales.
Néanmoins les découvertes et les théories faites par les naturalistes, les paléontologues, …, les biologistes et les neurobiologistes nous permettent d’imaginer des au-delà(s) du monde, riches d’espérances.
Rappelons pour cela, très succinctement, les faits les plus remarquables qui caractérisent l’évolution des espèces :

- l’impact de l’environnement reconnu par Jean Baptiste Lamarck (1744 – 1829) :
"Quantité de faits nous apprennent qu’à mesure que les individus d’une de nos espèces changent de situation, de climat, de manière d’être ou d’habitude, ils reçoivent des influences qui changent peu à peu la consistance et les proportions de leurs parties, leur forme, leurs facultés, …
La nature en produisant successivement toutes les espèces d’animaux, et commençant par les plus imparfaits ou les plus simples, pour terminer son ouvrage par les plus parfaits, a compliqué graduellement leur organisation ; …" (cf. Philosophie zoologique),
et de l’hérédité, voire d’une loi :
"Il soutint dans ses ouvrages, la doctrine que toutes les espèces, l’homme compris, descendent d’autres espèces. Le premier, il rendit à la science l’éminent service de déclarer que tout changement dans le monde organique est le résultat d’une loi, et non d’une intervention miraculeuse." (cf. Charles Darwin - De l’origine des espèces, notice historique),

- le rôle de la sélection sexuelle remarquée par Erasme Darwin (1731 – 1802),

- l’influence de la sélection naturelle analysée simultanément mais indépendamment, par Charles Darwin (1809 – 1882) et Alfred Russel Wallace (1823 – 1913) ; ce fut néanmoins Charles Darwin qui en tira gloire publiant en 1859 et en toute hâte, sa théorisation dont voici un extrait des conclusions :
"Il est intéressant de contempler un rivage luxuriant, tapissé de nombreuses plantes appartenant à de nombreuses espèces abritant des oiseaux qui chantent dans les buissons, des insectes variés qui voltigent çà et là, des vers qui rampent dans la terre humide, si l'on songe que ces formes si admirablement construites, si différemment conformées, et dépendantes les unes des autres d'une manière si complexe, ont toutes été produites par des lois qui agissent autour de nous. Ces lois, prises dans leur sens le plus large, sont : la loi de croissance et de reproduction ; la loi d'hérédité qu'implique presque la loi de reproduction ; la loi de variabilité, résultant de l'action directe et indirecte des conditions d'existence, de l'usage et du défaut d'usage ; la loi de la multiplication des espèces afin de lutter pour l'existence, qui a pour conséquence la sélection naturelle, laquelle détermine la divergence des caractères, et l'extinction des formes moins perfectionnées." (cf. De l’Origine des Espèces).

Par la suite,
- Gregor Mendel (1822 – 1884) mit en évidence des lois qui concernent l’hérédité, la structure clé (aujourd’hui dénommée gène) qui permet la transmission des caractères biologiques, et la possibilité de conserver à l’état potentiel, certains de ces caractères,
l'état potentiel, un état extrêmement riche d’enseignements qui, à vrai dire, ne fut jamais l’objet de débats de la part des philosophes et des théologiens.

- Oskar Hertwig (1849 – 1922) et Eduard Adolf Strasburger (1844 – 1912), par le moyen du microscope, montrèrent que le noyau des cellules est le siège de l’hérédité et que la fécondation nécessite l’union de deux cellules sexuelles (gamètes) mâle et femelle.

- Ernst Haeckel (1834 – 1919) a considéré le développement individuel (l’ontogenèse) comme l’aboutissement des développements historiques soumis aux contraintes de l’hérédité (la phylogenèse).
Il reconnut aussi certaines non-normalités qui affectent le développement.
Nous retiendrons plus spécialement les hétérochronies représentatives de retards ou d’accélérations dans la chronologie des phases de développement lors de l’ontogenèse, parce que les chronologies nécessitent la prise en compte de durées, ces intervalles qui ne sont pas de l’espace !
Comment cela est-il possible ?

Puis furent révélés d’autres phénomènes singuliers, citons :
- les brusques changements de classe par des sauts structurels, distingués par Karl Alfred von Zittel (1839 – 1904), qui contredisent le principe d’évolution graduelle cher à Darwin,

- la séparation physique entre les cellules sexuelles et les cellules corporelles remarquée par Friedrich Leopold Weismann (1834 – 1914) et Moritz Nussbaum (1850 – 1915), qui selon eux, fait que les expériences vécues ne sont pas transmissibles aux gènes.
Bien que cette indépendance relative des cellules sexuelles soit aujourd’hui reconnue, nous ne partageons cependant pas cette conclusion ; en effet, les cellules sexuelles ne peuvent pas être indépendantes parce qu’elles sont constamment nourries et que les vecteurs primordiaux des informations et des organisations de processus génétiques sont des ondes électromagnétiques,
des ondes qui traversent les vides moléculaires, atomiques et quantiques.
En d’autres termes, nous doutons du caractère strictement unidirectionnel de la transmission d’informations au niveau génétique (dogme actuel des biologistes) car nous sommes "enracinés" dans un cyber univers où le "sens" est omniprésent.

- après George Gaylord Simpson (1902 – 1984) on parlera de lignées à évolution moyenne (horotéliques), à évolution très lente (bradytéliques) et à évolution très rapide (tachytéliques), de mégaévolution lorsqu’il y a changement de genre, sans oublier la microévolution et la macroévolution chères à R Goldshmidt

- George Ledyard Stebbins (1906 – 2000) confirmera que les processus évolutifs des végétaux et des animaux sont identiques,

Déjà à ce niveau de connaissances, il devient évident que les évolutions des espèces sont plus que des adaptations à l’environnement ; elles sont, en premier lieu, les fruits d’incessantes activités de création dans les cellules, qui nécessitent de permanentes recherches de la nouveauté,
créations qui sont souvent accompagnées d'accroissements de complexité et attestent de contraintes insurmontables comme le montrent les voies évolutives sans issue (les voies mortes) et les voies évolutives mineures.
Nous sommes ainsi fort éloignés de la compréhension banale selon laquelle des lois et des principes régissent (gouvernent) l’univers et, ipso facto, l’évolution des espèces.
Il convient de le répéter sans cesse, les lois et les principes ne sont pas des opérateurs car ils n'ont pas de facultés qui permettent de reconnaître, de juger, de choisir, …, de décider et d’agir !

*
Ensuite, la "pénétration" de la matière par les moyens modernes d’analyse, conduira à de nouvelles conceptualisations, celles :
d’ADN ; d’ARN ; d’ARN messager ; d’enzymes ; de ribosomes représentatifs des micro usines qui permettent de fabriquer les protéines à l’aide de "logiciels génétiques" ; de réarrangements chromosomiques par le moyen de gènes sauteurs (de fragments d’ADN : les transposons) qui permettent de modifier le patrimoine génétique ; de mutants neutres qui peuvent devenir actifs si nécessaire : un fait lui aussi essentiel, qui atteste de potentialités génétiques disponibles pour le futur (en attente d’actualisation) et donc, qui atteste d’une intention primordiale.

La modélisation de l’ADN dans les années 1950, sera l’œuvre de James Dewey Watson (1928 - ), Francis Harry Compton Crick (1916 – 2004) et Maurice Hugh Frederick Wilkins ( 1916 – 2004).
Désormais, nous savons que la molécule d’ADN recèle entre 50 et 95% d’eau (en poids) ce qui est considérable et montre à nouveau, le rôle majeur joué par l’eau dans le phénomène de la vie.

Et apparaîtra alors, sans cesse plus présente, l’une des pierres d’achoppement de la connaissance, avec la mise en évidence des myriades de transmissions d’informations et d'organisations de processus au sein des êtres.
Ainsi, la transcription de l’ADN sur l’ARN polymérase, sera découverte en 1956 par Severo Ochoa (1905 – 1993) et Arthur Kornberg (1918 - ).
Hélas, voici comment les scientifiques analysent les transmissions de "sens" au niveau moléculaire :
"L’ARN polymérase est un complexe enzymatique responsable de la transcription….; les ARN polymérases 3 sont responsables de la synthèse d'ARN courts comme l'ARNt ou certains ARN ribosomiques (ARN 5S) ; l’ARN polymérases 2 catalyse la formation de l'ARNm ... ".
Hélas, car pour l’esprit en quête des causes primordiales, un ARN quel qu’il soit, n’est responsable de rien, ne catalyse pas ; en revanche, il permet la synthèse, la catalyse, …, ce qui est fort différent !

Pierre d’achoppement en effet, qui ose parler :
- des activités d’ordre transcendant nécessaires à la mémorisation et à la transmission du "sens" ?,
- de l’ordre transcendant des facultés qui permettent la reconnaissance, les choix, le respect de chronologies …?,
- du champ universel des virtualités et des potentialités dont le domaine de l’abstraction est l’expression singulière ?

Insistons davantage :
"Le code génétique est un grand ensemble de triplets de nucléotides, triplets qui sont dénommés codons ...
La séquence des codons de l’ADN est convertie en une séquence d’ARN messager (ARNm) par l’action d’un enzyme, et cette nouvelle séquence est transcrite par les ribosomes….
Excepté les codons d’initiation (ATG), de terminaison (codons STOP) ou de non-sens (UAA, UAG, et UGA), plusieurs codons codent le même acide aminé, ce qui produit des redondances.
Ce code est maintenant démontré comme étant universel depuis les bactéries jusqu’aux mammifères, avec quelques exceptions….
Lorsqu’une cellule a besoin de protéines ou d’enzymes, elle transcrit la séquence ADN en la copiant sous la forme d’un ARN et ce, en utilisant un enzyme spécifique qui lui-même fabrique un ARN messager (ARNm) identique à la séquence ADN." (cf. Littérature spécialisée).

Sachant que dans le corps des milliards de cellules sont simultanément concernées, même connaissant en détail la composition et la structuration des ADN, ARN, codons, enzymes, ribosomes et autres, à la lecture de ces extraits de textes comment ne pas disputer le discours biologique actuel ?
Peut-on croire que tous ces processus se déroulent au petit bonheur la chance, sous la houlette de lois et de principes, sans une entité créatrice unique qui transcende et coordonne les phénomènes de cette dynamique évolutive ?
Certes non et nous réalisons combien la compréhension du phénomène de la vie appelle plus que les sciences : la philosophie et la théologie.

A vrai dire, de nombreux scientifiques sont conscients de la problématique posée par le respect de repères universels de valeur, notamment de durées, et par le caractère unidirectionnel de l’évolution des espèces.
Néanmoins, dans leur grande majorité, osons le dire, "formatés" par l'éducation, ils demeurent convaincus qu’il y a des lois et des principes qui gouvernent l’univers et que les organes, les cellules, les gènes, …, sont des opérateurs.

Faut-il citer d’autres extraits de discours ? :
"Les cellules libèrent des messagers qui agissent, soit sur les cellules qui les ont produits (effet autochrine), soit sur les cellules à proximité (effet parachrine), soit sur des cellules éloignées lorsque ces messagers sont transportés par le sang (effet endochrine)….,
ce qu’un gène peut faire dépend de son contexte…,
les gènes homéotiques codent des protéines dont le rôle est de contrôler l’expression d’autres gènes, ce sont donc des gènes de régulation …".

Or, rappelons à nouveau, les gènes sont des moyens spécifiques, plus précisément les gènes sont des mémoires et des vecteurs d'organisations de processus et d’informations qui permettent de conduire la dynamique évolutive du phénomène de la vie, et c’est pour cela qu’ils sont si divers,
une dynamique qui exprime le respect de repères de valeur, notamment de durées puisque toutes les évolutions des êtres traduisent des chronologies rigoureuses,
de durées ces intervalles qui ne sont pas de l’espace mais d’ordre transcendant.

En outre, les biologistes nous parlent de mutations qui apparaissent par hasard mais dont le taux est constant dans le temps.
Comment cela est-il possible ?,
ne devons-nous pas reconsidérer la compréhension commune du hasard ?


2. 2. Potentiel d’état (état potentiel) et actualisations de potentialités

- Comment (pourquoi) les incessantes activités créatrices qui se déroulent dans le domaine singulier où sont mémorisés les programmes génétiques, ont-elles pu conduire, tout à la fois, à l'omniprésence d'un monde bactérien relativement inchangé depuis quelque trois milliards d'années, et à l'émergence de l'homme ?,
- qu'en est-il des activités qui ne sont pas "fossilisables", notamment celles qui permettent de reconnaître, de juger, de choisir, d'anticiper et qui s'expriment par des associations, des accords, des harmonies, des symbioses, ... ?,
- comment expliquer la "dynamique écervelée" du monde bactérien qui ignore le principe de base de l'évolution : chaque espèce progresse afin de tendre à la complexité de celle qui lui est immédiatement supérieure ?,
- peut-on comprendre l'apparente supériorité de certains êtres de "petites tailles" face aux aléas de la vie ?,
- pourquoi 80% des êtres multicellulaires, les arthropodes, malgré leur expansion particulièrement rapide, ne manifestèrent-ils pas, au cours des âges, une tendance à la complexification nerveuse ?,
- que présupposent les surcapacités acquises et cachées (à l’état potentiel), notamment les aptitudes plus que nécessaires (les sur aptitudes) pour réagir et se protéger ?,
- pourquoi la créativité (consciente) de nos lointains ancêtres, était-elle si primaire alors qu'ils disposaient d'organes cérébraux et sensoriels comparables aux nôtres ?

Autant d’interrogations majeures et de faits qui, parmi beaucoup d’autres, conduisent à reconnaître l’évolution des espèces comme corrélative d’incessantes activités de création et d’incessantes actualisations de potentialités, notamment génétiques,
et ce, malgré des contraintes parfois insurmontables
.

C'est pourquoi nous reconnaissons aux individus des lignées marquantes un "potentiel génétique" non seulement caractéristique de leur niveau de complexité mais aussi susceptible de s'accroître par le biais d'incessantes activités de création, d’ordre physique et d’ordre transcendant, jusqu'à parfois atteindre des seuils critiques qui permettent des évolutions remarquables.

Citons d’autres faits qui confortent cette compréhension :
- les adaptations à l'environnement qui présupposent des transformations génétiques polyvalentes représentatives de nouvelles potentialités, dénommées d'ailleurs exaptations par Gould et Vrba,
- les substitutions nucléotidiques qui se révèlent actives lorsque de nouvelles contraintes environnementales apparaissent, ce qui permet d'expliquer, en partie, pourquoi les processus évolutifs sont caractérisés par des périodes successives de stabilité et d'adaptations à l'environnement ; ainsi, les périodes plus ou moins rapides d’adaptation correspondent aux laps de temps qui sont nécessaires pour actualiser, pour que deviennent réelles des potentialités génétiques,
- les complexifications structurelles par le biais d’entités biologiques communes à l’ensemble des espèces, et qui caractérisent les lignées marquantes,
- les similitudes entre quelques processus évolutifs du phénomène de la vie et de la matière inerte,
par exemple lors d’augmentations de complexité, la similitude entre la bipolarité du mode sexuel de reproduction et la bipolarité des transitions de phase (des dédoublements de périodes) dans la matière.

En réalité, les périodes de stabilité qui émaillent l’évolution des espèces, ne sont qu'apparentes puisque au niveau élémentaire des êtres se déroulent d'incessantes activités créatrices qui se traduisent, entre autres, par l'accroissement du potentiel génétique des lignées marquantes.
La vie et le monde sont les fruits de créations permanentes !

Ces incessantes activités de création montrent ainsi que la sélection naturelle et l'adaptation à l'environnement ne sont pas les causes primordiales qui ont conduit, qui conduisent à l’évolution des espèces.

Et à propos des phénomènes qui sont reconnus comme des faits aléatoires ou comme les fruits du hasard, comment peut-on taire l’incontournable problématique :
qui procède aux sélections cohérentes et orientées destinées à surmonter les inévitables extinctions qui accompagnent les regroupements aléatoires ?
Le hasard ?, soyons sérieux.

2. 3. L’interprétation, un processus absolument nécessaire, et universel

Croyez-vous par exemple, que le processus relationnel entre les protéines et l'ARN (ou une partie de celui-ci) puisse se traduire et s'expliquer uniquement par des formalisations physico-chimico-mathématiques ?
Certes non, ne serait-ce que parce que les "organisations de processus " nécessaires à l'"édification" du corps, codées et mémorisées sur une molécule dont le poids n'excède guère "10 puissance moins 12" gr, doivent être interprétées (reconnues, jugées, …) comme le sont dans le langage humain, les lettres, les mots et les phrases.
En conséquence, dans une recherche des causes primordiales, nous ne pouvons pas taire ces interprétations,
et plus précisément, nous ne pouvons pas ignorer l'interprétation des caractéristiques des ondes électromagnétiques qui, vecteurs des organisations de processus à effet biologique et de processus à effet comportemental, émanent des particules, des atomes et des molécules constituant l'ADN et l'ARN,
sous prétexte que ces processus n’émergent pas de l’état de conscience.

Considérons les mimétismes d’évolution, entre les individus d’espèces différentes.
Tous sont intégrés dans des chronologies rigoureuses et similaires,
pour cela il est donc impératif qu'une même entité opératrice juge et utilise de mêmes repères de valeur, en particulier des laps de temps, des durées, ces intervalles d’ordre transcendant puisqu’ils ne sont pas de l'espace.

Les mutations biologiques aussi, sont riches d'enseignements à cet égard, à condition toutefois d’interpréter avec plus de rigueur, les discours scientifiques actuels qui en traitent.
Citons Michael Denton,
" deux découvertes nouvelles :
- le rythme des mutations est égal au rythme des substitutions …,
- le rythme du changement, dans le cas de nombreux gènes, est ponctué par une horloge qui semble tourner synchroniquement dans toutes les branches de l'arbre de la vie, … sans doute la preuve, certes indirecte, que tous les processus de mutation qui changent les séquences d'ADN au cours du temps sont en fait dirigés par quelque mécanisme.... Il n'est pas douteux que Gray, Owen et surtout Robert Chambers auraient vu dans ces résultats des arguments très forts en faveur de l'idée selon laquelle le cours de l'évolution est déterminé de quelque façon par une loi naturelle."(cf. L'évolution a-t-elle un sens ?).
Interpréter avec plus de rigueur oui, car, nous le répétons à nouveau avec assurance, une loi n’est un opérateur, même universelle !

Analyser d’autres processus biologiques ne conforterait guère plus notre argumentation.
A vrai dire, tous les modes d’évolution propres au phénomène de la vie, présupposent,
- et l’utilisation de repères de valeur ; pensez à ceux qui sont nécessaires pour assurer la cohérence, le développement et la réplication du patrimoine génétique : "haut - bas", "avant - arrière", "droite - gauche", ...., "soi - non soi",
- et l’élaboration d’informations et d'organisations de processus au niveau moléculaire,
ce qui, bien évidemment, implique des facultés semblables à celles qui, au niveau conscient, permettent de reconnaître, de juger, de choisir, … de décider et d’agir.
Les discours scientifiques ne peuvent plus masquer ces faits essentiels.

Actuellement pour explique la dynamique du phénomène de la vie, quelques biologistes nous parlent de directives rigoureuses (primordiales) émises au niveau des cellules, directives qui participeraient d'un modèle instructionniste et seraient représentatives d'un principe vital (pour expliquer les fonctions et les qualités particulières des êtres).
Quelle incroyable naïveté !

Certains imaginent même un "darwinisme mental" tout en postulant l'"existence" au sein du cerveau, d'un "générateur de diversité", voire de liberté.
Ce générateur alimenterait en permanence, une banque de représentations possibles du réel qui seraient mise à jour grâce aux expériences vécues.
Par qui ces représentations virtuelles seraient-elles sélectionnées, sont-elles sélectionnées ?
Dans quel lieu de virtualité, dans quel au-delà transcendant résident-elles ?


Est-ce dans un plan de la structure ?, comme le donne à entendre Jacques Monod :
"...le plan de la structure étant présent dans ses constituants eux-mêmes, elle (la construction épigénétique) peut donc se réaliser de façon autonome, sans intervention extérieure, sans injection d'information nouvelle. L'information était présente, mais inexprimée, dans les constituants.
La construction épigénétique d'une structure n'est pas une création, c'est une révélation." (cf. Le hasard et la nécessité - Essai sur la philosophie naturelle de la biologie).
Que présuppose cette révélation ?

N'est-il pas plus exact de considérer l'épigenèse comme l'actualisation de potentialités génétiques et le plan épigénétique comme l'expression d'un moyen, parmi d’autres, qui permet leur mémorisation ?

Quant aux organisations de processus, en particulier biologiques, de quel ordre, de quelle essence sont-elles ?
Quid de l'entité créatrice, "maître du sens", qui les reconnaît et les utilise ?



3. Emergence de l'homme


Courant juillet 2001, des chercheurs Mahamat Adoum, Fanone Gongdibe, Ahounta Djimdoumalbaye et Alain Beauvilain mirent à jour dans le désert du Djourab au Tchad, à l'ouest du rift, un crâne de proto hominidé, peut-être d'hominidé, vieux de quelque 6 à 7 millions d'années ; surnommé Toumaï, il appartiendrait à un phylum inconnu baptisé depuis : Sahelanthropus tchadensis.

L'étude approfondie de ce crâne nécessitera de nombreuses années et donnera lieu à de multiples débats contradictoires.
Cependant, cette étude, et celles d’autres ossements trouvés, et à venir, ne nous diront rien des causes primordiales à l'origine des hominidés.

A ce propos, comment par exemple, les anthropo- biologistes dans leur grande majorité, peuvent-ils continuer à croire que l'homme est apparu uniquement en raison de quelques contraintes dues à l’environnement, alors que nous sommes les pôles d’incessantes activités de création et de recherches de la nouveauté, au niveau génétique ?

Quant aux philo-biologistes actuels, ne devons-nous pas nous garder de leurs discours lorsqu’ils nous parlent ?, entre autres,
- d’informations contenues dans l’ADN, une extraordinaire chaîne de molécules de quelque 2 mètres de long, repliée sur elle-même et toute entière contenue dans chaque cellule, et dont les gènes en sont des fragments,
- des ribosomes comme étant de minuscules usines polyvalentes situées à l’intérieur des cellules, qui produisent de multiples et diverses protéines en fonction de directives spécifiques,
- de protéines qui agissent de concert pour générer des fonctions de niveau supérieur comme le rythme cardiaque, la sécrétion d’insuline par le pancréas, la transmission des influx nerveux dans le cerveau, …,
- d’exons codants séparés par des introns, qui peuvent s’associer différemment et qui ainsi, accroissent considérablement le nombre de combinaisons moléculaires génétiques possibles, utilisables pour le codage des protéines,
- d’"influences extérieures" qui assurent de bonnes lectures et transcriptions du code génétique, …,

en taisant systématiquement,
et le caractère transcendant de toute information (du sens),
et les activités d’ordre transcendant impérieusement nécessaires à l’élaboration, au codage, à la reconnaissance, à la mémorisation, à la transmission, à la transcription, … et à la mise en œuvre (à l’actualisation) d'organisations de processus à effet biologique, de processus à effet comportemental, voire à effet mortifère.


Ils attribuent ainsi, sans états d’âme, des pouvoirs et des responsabilités aux gènes, aux enzymes, aux exons, aux protéines …, et même aux systèmes, aux principes, aux lois,
de funestes dérives de l’entendement !

Insistons davantage et considérons les gènes avec leur fonction de réplication, tels qu’ils sont imaginés par R. Dawkins :
"Ils fourmillent aujourd’hui en grande colonies, à l’abri de gigantesques robots, isolés du monde extérieur, communiquant avec lui par des voies tortueuses et indirectes, … Ils sont en vous et en moi. Ils nous ont créés, corps et âme, et leur préservation est l’ultime raison de notre existence." (cf. Gène égoïste).

Constat remarquable, dans ce texte et dans les nombreuses théories qui lui sont opposées, comme celle de Stephen Jay Gould qui argue de sélections spécifiques à plusieurs niveaux de complexité des organes, il n’est jamais débattu des facultés, et de leur ordre : transcendant, qui permettent de reconnaître, de lire les messages génétiques, …, de juger dans le cadre d’un système universel de repères de valeur, d’anticiper, de choisir, .., de sélectionner, d’intégrer les évolutions et les comportements dans des chronologies rigoureuses, …, de communiquer et de décider.

Quant aux ondes électromagnétiques qui sont les vecteurs primordiaux du sens, et les seuls moyens susceptibles de traverser les vides quantiques qui séparent les particules et les atomes constitutifs des molécules, biologiques ou non,
mutisme total !

Certes, il est parfois parlé d’interprétation, ainsi :
"le code ADN n’a pas de sens tant qu’il n’est pas interprété fonctionnellement, tout d’abord par la machinerie cellulaire ("cellule - protéine") qui initie et contrôle la phase de transcription, ensuite par les systèmes d’interaction de plus haut niveau entre protéines, qui génèrent les fonctions physiologiques supérieures. (cf. "La musique de la vie" - Denis Noble).
Mais croyez-vous qu’une machinerie cellulaire et des systèmes d’interaction soient capables de tels exploits ?
Non, bien évidemment ; en revanche, ces moyens permettent que ce code soit lu et utilisé, nuance !

Il convient d’ailleurs de préciser que le code génétique est plus qu’un vaste ensemble de positionnements dans l’espace de molécules spécifiques, c’est, avant tout, le foisonnement extrêmement complexe des ondes électromagnétiques vecteurs des organisations de processus génétiques.
Sa reconnaissance (sa lecture) présuppose donc la faculté d’interpréter non seulement les fréquences et les amplitudes de ces ondes, mais aussi les interférences (les combinaisons) de celles-ci en fonction de leurs positions spatiales.


Dès lors, compte tenu de l’extrême variété des ondes électromagnétiques qui permettent les évolutions et les comportements d’un être,
il est totalement utopique de chercher à formaliser, uniquement par de savantes théories scientifiques, les interactions qui permettent la dynamique d’un individu, voire celles nécessaires à telle fonction biologique.
Soyons donc modestes.

Vivre, la vie, c’est créer et détruire, et pour cela il faut, entre autres, percevoir et échanger ; en outre, l’ADN n’est pas simplement comme il est dit de manière banale, le livre de la vie, mais un programme d’actions recelant des potentialités,
des potentialités qui pour être actualisées nécessitent :
- une entité créatrice qui en juge et en use dans le cadre d’un système universel de repères de valeur, notamment temporels,
- des éléments chimiques (carbone, oxygène,…),
- des molécules simples comme l’eau,
- des molécules carbonées plus ou moins complexes,
- des organes adaptés au niveau de complexité des êtres.

Pour tenter d’expliquer la vie il faut donc aussi débattre de cet opérateur, notamment de son essence, et de tous les moyens physiques, biophysiques et transcendants qu’il utilise,
sachant que ceux-ci sont en interaction permanente par le biais d’échanges incessants d’énergies, d’informations et d'organisations de processus,
sachant que les vecteurs primordiaux du sens sont des ondes électromagnétiques, un fait essentiel qui, hélas, en cette année 2013 n’est pas encore admis, voire, dont on ne parle pas,
sachant que la dynamique de la vie, comme toute dynamique d’ailleurs, présuppose des myriades de déséquilibres, plus ou moins importants et plus ou moins subtils, ce qui bien évidemment, sous-entend leur "gestion" par une entité unique maître du sens.


Vastes et ambitieuses recherches dont les résultats sont à ce jour, uniquement interprétés par des tenants du monisme, sans vraies réactions des spiritualistes.
Ainsi, à propos de cet opérateur, les philo-biologistes les plus avant-gardistes, nous parlent bien de compositeur, de soliste, d’organiste, de chef d’orchestre, …, mais ils le reconnaissent, incroyable naïveté et désolation, au gré de leurs argumentations, dans les organes, les lois, les principes, les processus, les systèmes,…

Considérons les systèmes biologiques ; que certains par exemple, soient indispensables pour impulser et réguler les différents rythmes nécessaires à la vie (cardiaque, respiratoire, …), ne signifie aucunement qu’ils sont des opérateurs ; ces systèmes sont des moyens biologiques qui permettent d’impulser et de réguler, nuance !
D’où l’incontournable problématique :
qui utilise de tels moyens ?

Certes, nous concevons combien il est difficile pour les scientifiques, d’intégrer dans leurs théories des facteurs qui n’ont aucune correspondance avec le réel (exprimer par des formules mathématiques l’énergie psychique, l’intention, la volonté, le désir, … et leurs implications dans la matière, quelle gageure !), néanmoins ils devront tôt ou tard en tenir compte, ne serait-ce que parce que :
- la reconnaissance de tout phénomène et de toute organisation de processus, implique un état de transcendance (il faut notamment être à l’extérieur des phénomènes pour en juger),
- les animaux ont leur propre domaine d’abstraction où, à l’instar du nôtre, "cohabitent" leurs expériences passées, leur présent et leur anticipations, donc un domaine qui est intemporel et transcendant ; certains comme les chimpanzés, ont même un proto état de conscience.


Nous savons également que des recherches, en tous domaines, sont plus que jamais indispensables pour assurer le quotidien et anticiper le devenir ; cependant les connaissances déjà acquises nous semblent aujourd’hui suffisantes pour concevoir de nouvelles et crédibles réponses aux interrogations essentielles qui hantent encore l’humanité.
Pour cela tous les cheminements expérimentaux, conceptuels et analytiques sont nécessaires, que ce soit,
- de l’infiniment petit à notre macro état d’être, et inversement,
- de l’état quantique à l’état de conscience, et inversement,
- par le biais d’introspections,
car la paléontologie, la biologie et la neurobiologie, seules, ne permettront jamais de percer les mystères de la vie, en particulier, les causes primordiales qui furent à l’origine de l’humain.

Le phénomène de la vie et ses processus peuvent alors être médités sous d’autres éclairages.

Considérons la redondance du matériel génétique qui jusqu’à ce jour, n’a jamais été expliquée de manière satisfaisante.
Dès lors que les vecteurs du code génétique sont des ondes électromagnétiques et que nous évoluons dans un "bain" infiniment complexe de ces ondes puisque tout état du réel vibre,
il est bien évidemment vital d’éliminer celles qui sont nuisibles.
Or, le processus biologique systématique qui est le plus adapté et performant se révèle être le mixage (l’addition, la superposition) de ces ondes par le moyen de la redondance des perceptions. 
C’est d'ailleurs pourquoi nous sommes convaincus qu’en tout être, le hasard est pris en compte, bien que ses effets négatifs ne soient pas tous totalement annihilés,
un fait qui montre aussi, à l’évidence, que les évolutions, des espèces en particulier, du réel en général, présupposent un mystérieux objectif, plus exactement, une mystérieuse nécessité.

Autre éclairage remarquable, celui jeté par la physique quantique qui permet d’affirmer que nous sommes tous enracinés dans l’univers puisque nos composants sont constamment construits et reconstruits par échanges de myriades de particules cosmiques.
En conséquence, sachant que la cohérence des évolutions est assurée par,
- des relations physico-chimiques dont quelques unes sont accessibles par l’expérimentation,
- des activités d’ordre transcendant notamment parce qu’en tout être il y a élaboration, reconnaissance, diffusion et mémorisation d'organisations de processus à effet biologique, de processus à effet comportemental, voire à effet mortifère,

comment ne pas raisonnablement croire que nous sommes d’extraordinaires pôles d’activités transcendantes intéressant pour le moins le proche univers, en raison de nos relations quantiques ?

Par ailleurs, le phénomène de la vie étant une potentialité du réel actualisée si les conditions d’état d’une planète sont adéquates,
nous pouvons également raisonnablement croire que des êtres aussi complexes que l’humain, sont indispensables pour la conduite de la dynamique du monde.
En d’autres termes, nous pouvons croire que la cohérence des évolutions de l’univers, éternel chantier à jamais inachevé, nécessite des pôles permanents suffisamment puissants, d’interactions extrêmement complexes,
des pôles qui, mystérieusement, sont construits et reconstruits corrélativement à d’incessantes et laborieuses recherches de la nouveauté.

Pour toutes ces raisons,
nous estimons donc que la noblesse et la responsabilité de l'homme relèvent de l'entité créatrice d’ordre transcendant qui de toute éternité conduit l’univers,
et sommes convaincus que cette entité qui se reconnaît sous le couvert du moi (je, ego, sujet, esprit), n’est pas omnipotente, en particulier puisque l’existence est déterminée par des expériences primordiales, l’environnement et l'individualisation.
Nous comprenons aussi mieux pourquoi il y eut au cours de la longue histoire du phénomène de la vie, il y a encore des actualisations légèrement différentes de potentialités génétiques identiques, en des lieux distincts,
des actualisations légèrement différentes qui conduisirent notamment à l'émergence quasi simultanée, de l’homme de Neandertal et de l’homme de Cro-Magnon lointain ancêtre de l’homme moderne
.

L’homme nécessité universelle plutôt que projet spécifique ?!



Paul Moyne
http://www.paulmoyne.com


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Evolution des espèces

Started by moyne paul Mar 7, 2008. 0 Replies

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Comment by moyne paul on August 2, 2013 at 10:14am

Que vous suggère cette théorie ?
Paul Moyne
http://www.paulmoyne.com

 

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